Scanner, me voilà !

Publié le par Butterfly

        

C’est donc à jeun et munie de mes deux flacons d’iode préalablement délivrés par la pharmacie, que je suis arrivée à ce deuxième rendez-vous important qui allait sans doute m’en apprendre davantage sur cette dilatation et insuffisance aortique.

On m’a accueilli aimablement, fait patienter quelques instants et puis quand ce fut mon tour, on m’a dirigé vers une cabine où je me suis allongée sur une table de consultation, demandé si je n’étais pas allergique à l’iode : à ma connaissance non et on m’a branché une perfusion au poignet pour dilater la veine où le produit serait injecté plus tard.

Au bout d’un quart d’heure à une demi-heure, on vient me chercher pour le scanner, je m’allonge et une machine rotative tourne autour de moi, et au moment où l’on m’injecte l’iode, on me demande de ne plus respirer et ce à plusieurs reprises. L’examen en lui-même dure vingt minutes, n’est pas très agréable du fait du produit qui dégage une sensation de chaleur dans tout le corps mais reste moins, pour moi, impressionnant que l’IRM que j’ai le « plaisir » de connaître maintenant et que j’appréhende toujours, mais cela je le raconterai plus tard.

Puis, on me raccompagne dans ma cabine, on enlève la perfusion et j’attends le radiologue qui  m’explique ce qu’il en est. Le résultat de l’examen ne fait que corroborer le diagnostic du Docteur L. à savoir  47 mm de dilatation au lieu de 35 mm pour mon âge. Il me conseille de passer un scanner tous les ans pour s’assurer de la stabilité ou de l’évolution de l’aorte.

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